Retour à la vraie Amérique centrale .... le Nicaragua, plus vrai que le Costa Rica en tout cas.
Après le lac Arenal et son volcan je suis passé par Libéria et ensuite encore un bus pour Pena Blanca, village frontalier avec le nicaragua.
Rien à y faire, juste à passer l'immigration !
Ca va toujours aussi vite et toujours aucun contrôle. Une fiche à remplir et un tampon de sortie.
Direction ensuite l'immigration suivante ... et on sent tout de suite qu'on atterrit dans un pays différent. Pas beaucoup à marcher mais un joli bordel quand même !!
Beaucoup de camions et de trafics donc. Pas trop de touristes sur pattes (la plupart sont en bus shuttle !)
Bref je croise juste 3 allemands qui font le trajet en sens inverse, ils me montrent le chemin, je fais de même (mais bon pas moyen de se perdre !).
Avant même d'arriver des garçons essayent de vous "vendre" les fiches d'immigration, ils demandant juste un petit quelque chose. Au final cette fiche vous l'avez gratuite au bureau officiel.
Avant d'arriver à l'immigration, il faut payer une taxe de 1 $, "une taxe municipale" que les locaux ne payent pas d'ailleurs.
Ensuite, encore une fois c'est tout simple. Une fiche à remplir, que le gars regarde à peine, non pas du tout en fait et une taxe de 12 $ à payer en dollars.
Puis je retire des sous, car il y a un dab juste après le poste d'immigration, pas besoin de céder aux harcèlements des gars qui vous hèlent à travers les grillages pour vous faire profitez "d'un super taux de change".
Je cherche un bus et je dois passer "de l'autre côté", je traverse juste un contrôle et je change de monde.
Capharnaüm, bruits, bus déglingués et pauvretés qui sautent aux yeux. Je suis tout de suite alpagué pour savoir où je vais.
Direction Rivas pour moi et je prends le premier bus, qui part tout de suite d'ailleurs. Trajet pas trop long, et pas cher du tout quand on connaît le prix. J'ai du payer le double (genre en tout 3 $) mais ça me gave de me faire avoir. Trajet pas trop long, même si on approche bientôt des midi.
Une fois à Rivas, je demande où se trouve le bus pour San Jorge (le port pour aller sur l'île d'Ometepe). A chaque fois on me dit qu'il n'y a pas de bus, que des taxis (un me propose 4 $ ... pour 5 km) ... je comprends vite (je commence à connaître ce système !) et en plus ils ne me connaissent pas ici !
Je trace vers l'intersection que j'ai vu en arrivant (il y avait la direction et le kilométrage !). 5km à faire à pied ça me dérange pas !! même si je sais qu'il y a un bus. La ville est remplie d'étals ... on doit être jour de marché ! ou c'est juste un jour normal !
Pas trop le temps de regarder, je trace. J'arrive vite à l'intersection et je vais à un arrêt de bus juste après. Je demande à une dame qui attend, elle me confirme pour le bus, me dit le prix à payer et même le prix à payer pour les bateaux pour l'île. Super sympa, on discute un peu en attendant le bus qui ne tarde pas.
7 cordodas au lieu des 4 dollars c'est déjà mieux ! (1$=25 cordobas).
Rapide, le gars me dépose juste devant le port. On a discuté un peu ... toujours de la sympathie, j'aime déjà beaucoup mieux.
Une taxe pour entrée dans le port de 10 cds puis je dois attendre la lancha qui part à 12h30 (il est déjà plus de 11h30).
La lancha coûte 35, le cargo 70, alors savoir pourquoi, surtout que la lancha ressemble, pour moi plus à un cargo mais bon.
Bien plus grande que celles que j'ai prise ... mais il y a quand même moyen d'être mouillé !!
Une traversée d'une heure pour arriver sur l'ile d'Ometepe et ses 2 volcans.
jeudi 14 février 2013
Passage au Nicaragua et direction Ometepe !
mercredi 13 février 2013
La Fortuna et l'Arenal
Toujours en train de remonter vers le nord, je me suis arrêté cette fois à La Fortuna, ville près du volcan Arenal.
On peut dire qu'il est juste à côté car on le voit bien de la ville. Il n'y a qu'à regarder la photo ci dessous ! Très impressionnant quand il veut bien se montrer et que les nuages ne cachent pas son sommet.
Sinon la ville c'est gringo land, je suis d'ailleurs aller à un hostal qui s'appelle Gringo Pepe mais qui est très bien (sur la transversale, au sud de l'école). Beaucoup d'allemands qui ne parlaient que anglais, mais aussi 3 italiens avec qui j'ai passé du temps et qui parlaient espagnol.
2 qui revenaient du Nicaragua et on a donc échangé nos bons plans et 1 autre qui y va. Bref de bonnes rencontres. En ville tout est fait pour prendre des tours qui coûtent assez cher, donc moi j'ai fait mes propres balades.
Je suis allé au Cerro Chato, un mini volcan éteint avec une lagune au fond. Balade assez dure car ca monte beaucoup mais la vue n'est pas superbe et la lagune encore moins.
J'ai suivi divers chemins aussi pour avoir des points de vue sur le volcan sans les fils électriques de la ville ! Bref j'ai bien marché.
Je suis allé aussi au lac, à pied, avec mon gros sac et toutes mes affaires. Environ une vingtaine de kilomètre (mais pas difficile). Pas facile de marcher sur le bord de la route quand même surtout que je n'étais pas seul, les fourmis travaillaient et ramenaient du matos chez eux !!!
Je me suis posé près du lac sous un arbre en tente pour espérer profiter d'une belle vue. Un peu raté car les nuages étaient présent mais pas trop à me plaindre quand même.
On peut dire qu'il est juste à côté car on le voit bien de la ville. Il n'y a qu'à regarder la photo ci dessous ! Très impressionnant quand il veut bien se montrer et que les nuages ne cachent pas son sommet.
Sinon la ville c'est gringo land, je suis d'ailleurs aller à un hostal qui s'appelle Gringo Pepe mais qui est très bien (sur la transversale, au sud de l'école). Beaucoup d'allemands qui ne parlaient que anglais, mais aussi 3 italiens avec qui j'ai passé du temps et qui parlaient espagnol.
2 qui revenaient du Nicaragua et on a donc échangé nos bons plans et 1 autre qui y va. Bref de bonnes rencontres. En ville tout est fait pour prendre des tours qui coûtent assez cher, donc moi j'ai fait mes propres balades.
Je suis allé au Cerro Chato, un mini volcan éteint avec une lagune au fond. Balade assez dure car ca monte beaucoup mais la vue n'est pas superbe et la lagune encore moins.
J'ai suivi divers chemins aussi pour avoir des points de vue sur le volcan sans les fils électriques de la ville ! Bref j'ai bien marché.
Je suis allé aussi au lac, à pied, avec mon gros sac et toutes mes affaires. Environ une vingtaine de kilomètre (mais pas difficile). Pas facile de marcher sur le bord de la route quand même surtout que je n'étais pas seul, les fourmis travaillaient et ramenaient du matos chez eux !!!
Je me suis posé près du lac sous un arbre en tente pour espérer profiter d'une belle vue. Un peu raté car les nuages étaient présent mais pas trop à me plaindre quand même.
vendredi 8 février 2013
San José et ses volcans
Capitale du Costa Rica, San José est pourtant facile à visiter à pied. Le centre et les alentours sont vraiment à taille humaine et donc facile à voir.
Bon pas grand chose à voir il faut le dire, car ce qui m'intéresse est plutot dans les alentours !
Des espaces verts quand même qui sont agréable pour se reposer, une rue principale où se trouvent tout les magasins, des musées, quelques églises ... des terminaux de bus aux 4 coins de la ville, bref j'ai vu pas mal de rues !
Dur aussi de trouver un bon logement pas trop cher, je suis atterri un peu par hasard chez Fabio et Ana Lucia, à Hostal Casa Urbana. Ils sont adorable, je leur ai fait des crèpes et on discutait le soir.
Le volcan Irazu et son cratère (le plus grand du monde selon les locaux) .... et comment être pris pour un bon gentil touriste.
Quelques explications. Le volcan n'est pas trop loin, à genre 50 km de la ville. Il faut passer par
Cartago et ensuite d'autres petits villages pour rejoindre le volcan.
L'entrée du volcan est à 10 $ (pas de tarif étudiant) et le transport est presque au même prix (4600 colons). Et c'est cela qui est choquant parce que c'est un bus comme un autre, même pas un direct. On fait plein de stop et on prend les locaux ... qui ne payent pas le même prix bien sur !! Et en plus Ana Lucia m'a dit que pour aller à Cartago ca coûte 400 colons !
Bref une belle arnaque ce bus et en plus il a mis plus de 2 heures pour arriver sur le site.
Donc ca laisse juste 2 heures pour la visite car le bus repart à 12h30. Mais ca suffit.
Déçu car pas grand chose à voir et j'ai fait le tour en 1h30. Tout est fait pour le touriste et il n'y a rien de naturel je trouve et pas d'effort à fournir pour y arriver !!
J'ai trop l'habitude de devoir marcher pour voir les paysages et c'est ce que j'aime. Le paysage est joli mais on est au mirador en sortant du bus donc ... ben déception !
Je n'ai donc pas fait le second volcan que je prévoyais de faire, le Poas. Si c'était pour revivre le même périple, non merci.
Bon pas grand chose à voir il faut le dire, car ce qui m'intéresse est plutot dans les alentours !
Des espaces verts quand même qui sont agréable pour se reposer, une rue principale où se trouvent tout les magasins, des musées, quelques églises ... des terminaux de bus aux 4 coins de la ville, bref j'ai vu pas mal de rues !
Dur aussi de trouver un bon logement pas trop cher, je suis atterri un peu par hasard chez Fabio et Ana Lucia, à Hostal Casa Urbana. Ils sont adorable, je leur ai fait des crèpes et on discutait le soir.
Le volcan Irazu et son cratère (le plus grand du monde selon les locaux) .... et comment être pris pour un bon gentil touriste.
Quelques explications. Le volcan n'est pas trop loin, à genre 50 km de la ville. Il faut passer par
Cartago et ensuite d'autres petits villages pour rejoindre le volcan.
L'entrée du volcan est à 10 $ (pas de tarif étudiant) et le transport est presque au même prix (4600 colons). Et c'est cela qui est choquant parce que c'est un bus comme un autre, même pas un direct. On fait plein de stop et on prend les locaux ... qui ne payent pas le même prix bien sur !! Et en plus Ana Lucia m'a dit que pour aller à Cartago ca coûte 400 colons !
Bref une belle arnaque ce bus et en plus il a mis plus de 2 heures pour arriver sur le site.
Donc ca laisse juste 2 heures pour la visite car le bus repart à 12h30. Mais ca suffit.
Déçu car pas grand chose à voir et j'ai fait le tour en 1h30. Tout est fait pour le touriste et il n'y a rien de naturel je trouve et pas d'effort à fournir pour y arriver !!
J'ai trop l'habitude de devoir marcher pour voir les paysages et c'est ce que j'aime. Le paysage est joli mais on est au mirador en sortant du bus donc ... ben déception !
Je n'ai donc pas fait le second volcan que je prévoyais de faire, le Poas. Si c'était pour revivre le même périple, non merci.
mercredi 6 février 2013
San Gerardo, le parc de Chirripo
Passage au Costa Rica ... j'ai quitté tôt ce matin le Panama et Boquete.
J'ai donc pris un bus pour rejoindre la ville de David puis du terminal j'en ai pris un autre pour Frontera (la frontière). 2$ pour 2h de trajet.
Les formalités se passent assez vite, juste un tampon de sortie pour le Panama et un d'entrée pour le Costa Rica. Info intéressante, il y a un dab entre les 2 postes frontières donc pratique pour retirer de l'argent.
A savoir aussi, pour l'entrée au Costa Rica il faut présenter une preuve de sortie. Ils vérifient à peine donc vous pouvez vous faire votre propre billet électronique.
De là j'ai pris un bus pour Neily, la première ville Costaricaine ! 18 km pour 400 colons (la monnaie du pays, 680 crc pour 1€). Et ensuite j'ai pris encore un autre bus (oui ça en fait des bus en une journée ...) pour San Isidro.
Départ à 11h30 et pour me rendre compte que je viens de gagner 1 heure ?! de décalage horaire, allez comprendre !
Bref le bus est en retard et j'attends sous la chaleur étouffante, il fait un peu plus de 40° !
Départ un peu avant midi et un trajet très long de plus de 4 heures pour faire 200 km. Pourtant la route est bonne et on roule bien mais on s'arrête souvent.
Une fois à San isidro, il faut trouver le terminal de bus pour San Gerardo qui n'est pas trop loin, heuresement. Le bus est à 6h45 !!! Je dois donc attendre.
Je fais quelques courses pour pouvoir cuisiner, au supermarché qui est en face. Pas si cher que ca ! Je mange aussi ... une baguette .. qui n'est pas vraiment très bonne, mais ca cale.
Je discute avec un gars du coin, Juan, qui m'explique que le tourisme ne marche pas trop depuis 2 ans car les prix commencent à être trop important. Il me parle de son travail aussi, il met le café dans des paquets et il travaille 10 h par jour sauf le dimanche 4h pour pouvoir se reposer ... les conditions de travail ne changent pas de pays en pays contrairement à ce que j'aurais pensé. Et dire que l'on se plaint en Europe ... enfin difficile de comparer quand même.
J'arrive un peu après 8h. Je pose la tente dans le noir et dodo.
Le lendemain je prends les infos auprès du ranger du parc et j'hallucine sur les prix. Il me dit 40$ (déjà me donner un prix en dollar je n'aime pas trop surtout quand on a une monnaie locale) pour 2 jours d'accès et une nuit en refuge.
Si je veux visiter en une journée (ce qui n'est pas possible, vu la distance et ce qu'il y a visiter), c'est 15 $ et il n'y a même pas de tarifs étudiants.
Bref je me contente de la visite des environs qui est bien sympa et calme.
En même temps il n'y a que 300 habitants et très peu de touristes. Je vais jusqu'à l'entrée du parc où il n'y a aucun contrôle et je monte un peu mais le chemin va dans la forêt ... donc je rebrousse chemin. Je continue ma balade dans les environs en faisant quelques photos. Il y a beaucoup de bananiers, et d'orangers dont personne n'a l'air de se soucier car il y en a plein par terre.
J'ai donc pris un bus pour rejoindre la ville de David puis du terminal j'en ai pris un autre pour Frontera (la frontière). 2$ pour 2h de trajet.
Les formalités se passent assez vite, juste un tampon de sortie pour le Panama et un d'entrée pour le Costa Rica. Info intéressante, il y a un dab entre les 2 postes frontières donc pratique pour retirer de l'argent.
A savoir aussi, pour l'entrée au Costa Rica il faut présenter une preuve de sortie. Ils vérifient à peine donc vous pouvez vous faire votre propre billet électronique.
De là j'ai pris un bus pour Neily, la première ville Costaricaine ! 18 km pour 400 colons (la monnaie du pays, 680 crc pour 1€). Et ensuite j'ai pris encore un autre bus (oui ça en fait des bus en une journée ...) pour San Isidro.
Départ à 11h30 et pour me rendre compte que je viens de gagner 1 heure ?! de décalage horaire, allez comprendre !
Bref le bus est en retard et j'attends sous la chaleur étouffante, il fait un peu plus de 40° !
Départ un peu avant midi et un trajet très long de plus de 4 heures pour faire 200 km. Pourtant la route est bonne et on roule bien mais on s'arrête souvent.
Une fois à San isidro, il faut trouver le terminal de bus pour San Gerardo qui n'est pas trop loin, heuresement. Le bus est à 6h45 !!! Je dois donc attendre.
Je fais quelques courses pour pouvoir cuisiner, au supermarché qui est en face. Pas si cher que ca ! Je mange aussi ... une baguette .. qui n'est pas vraiment très bonne, mais ca cale.
Je discute avec un gars du coin, Juan, qui m'explique que le tourisme ne marche pas trop depuis 2 ans car les prix commencent à être trop important. Il me parle de son travail aussi, il met le café dans des paquets et il travaille 10 h par jour sauf le dimanche 4h pour pouvoir se reposer ... les conditions de travail ne changent pas de pays en pays contrairement à ce que j'aurais pensé. Et dire que l'on se plaint en Europe ... enfin difficile de comparer quand même.
J'arrive un peu après 8h. Je pose la tente dans le noir et dodo.
Le lendemain je prends les infos auprès du ranger du parc et j'hallucine sur les prix. Il me dit 40$ (déjà me donner un prix en dollar je n'aime pas trop surtout quand on a une monnaie locale) pour 2 jours d'accès et une nuit en refuge.
Si je veux visiter en une journée (ce qui n'est pas possible, vu la distance et ce qu'il y a visiter), c'est 15 $ et il n'y a même pas de tarifs étudiants.
Bref je me contente de la visite des environs qui est bien sympa et calme.
En même temps il n'y a que 300 habitants et très peu de touristes. Je vais jusqu'à l'entrée du parc où il n'y a aucun contrôle et je monte un peu mais le chemin va dans la forêt ... donc je rebrousse chemin. Je continue ma balade dans les environs en faisant quelques photos. Il y a beaucoup de bananiers, et d'orangers dont personne n'a l'air de se soucier car il y en a plein par terre.
dimanche 3 février 2013
Boquete
De Panama City je remonte assez vite dans le nord pour rejoindre Boquete. Un bus de nuit pas confortable du tout et un voisin qui prend bien de la place.
7 heures de route et j'arrive à la ville de David, et puis un autre bus pour Boquete en 1 heure.
Petit village donc, assez touristique mais on ne le ressent pas.
Première journée bien tranquille, à me poser, laver mes affaires (je suis en camping donc je peux facilement faire sécher et puis il fait beau et il y a du vent). Petite balade en ville et sieste pour récupérer de la nuit !
Deuxième jour, un peu plus actif puisque je suis allé au volcan Baru. Il se trouve à environ 8km du village, une partie à pied et l'autre en stop. Une fois arrivé au poste de garde il faut payer 5$ .... on se rapproche du Costa Rica où là aussi tout se paye !
Bref il est 9h, il y a 13,5 km de montée, 1300 mètres de dénivelés positif pour arriver à un peu plus de 3400 mètres ! Le ranger me dit qu'il y a 5h de marche et 4h30 si je marche bien .... mouais, ca reste à voir !!
Au final donc je mettrais 3h en marchant bien. Que de la piste rocailleuse et pas de très jolis panoramas sur la route. Je vois quand même l'océan dès que je monte un peu, les archipels de Bocas Del Toro.
Grosse déception car le volcan n'est pas là, enfin pas comme je l'espérais et il n'en reste pas grand chose. La vue sur les alentours est quand même jolie, mais bon les antennes relais gâchent le paysage.
C'est le plus haut sommet du pays et pour ceux qui le souhaitent on peut camper un peu avant le sommet, rudimentaire, mais on peut poser sa tente ... mais bon faut venir là avec son sac et ses affaires !
Je reste une bonne demi-heure puis je redescends, il est déjà 12h30 et j'ai pas envie de rentrer trop tard. Pratiquement que de la descente, je suis en bas à 15 h. Pas mal quand même, j'ai fait plus de 2600 mètres de dénivelés cumulés en moins de 6h ... en même temps j'avais qu'un petit sac.
Retour en stop, la 1ère voiture me prend. La vie est parfois facile !
7 heures de route et j'arrive à la ville de David, et puis un autre bus pour Boquete en 1 heure.
Petit village donc, assez touristique mais on ne le ressent pas.
Première journée bien tranquille, à me poser, laver mes affaires (je suis en camping donc je peux facilement faire sécher et puis il fait beau et il y a du vent). Petite balade en ville et sieste pour récupérer de la nuit !
Vue du mirador |
Bref il est 9h, il y a 13,5 km de montée, 1300 mètres de dénivelés positif pour arriver à un peu plus de 3400 mètres ! Le ranger me dit qu'il y a 5h de marche et 4h30 si je marche bien .... mouais, ca reste à voir !!
Au final donc je mettrais 3h en marchant bien. Que de la piste rocailleuse et pas de très jolis panoramas sur la route. Je vois quand même l'océan dès que je monte un peu, les archipels de Bocas Del Toro.
Grosse déception car le volcan n'est pas là, enfin pas comme je l'espérais et il n'en reste pas grand chose. La vue sur les alentours est quand même jolie, mais bon les antennes relais gâchent le paysage.
C'est le plus haut sommet du pays et pour ceux qui le souhaitent on peut camper un peu avant le sommet, rudimentaire, mais on peut poser sa tente ... mais bon faut venir là avec son sac et ses affaires !
Je reste une bonne demi-heure puis je redescends, il est déjà 12h30 et j'ai pas envie de rentrer trop tard. Pratiquement que de la descente, je suis en bas à 15 h. Pas mal quand même, j'ai fait plus de 2600 mètres de dénivelés cumulés en moins de 6h ... en même temps j'avais qu'un petit sac.
Retour en stop, la 1ère voiture me prend. La vie est parfois facile !
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